Dans l’affaire des virements de Connectic vers Emergent Network Systems, Ranarison Tsilavo Nexthope s’appuie sur une lettre de Cisco datée du 26 novembre 2013 pour accuser Solo d’abus de biens sociaux et de faux en écriture. Pourtant, cette lettre, utilisée pour soutenir une plainte, entre en conflit direct avec un email daté du 3 mars 2009, dans lequel Ranarison rédige une facture de 20 000 € pour des logiciels Cisco IOS. Ces éléments factuels démontrent une tentative de manipulation des faits et confirment que parler haut et fort de la vérité, preuves à l’appui, n’est pas diffamer.
La lettre de Cisco : un document exploité de façon biaisée
La lettre de Cisco, signée par Jiri Kocab, responsable de la protection des marques, précise deux faits simples :
- Emergent Network Systems n’a aucun partenariat contractuel avec Cisco.
- Emergent Network Systems n’est pas un distributeur autorisé de Cisco à Madagascar.
Ces points sont factuels, mais leur interprétation dans le cadre de la plainte est biaisée. La lettre n’affirme nulle part que :
- Les produits ou logiciels mentionnés dans les factures étaient fictifs.
- Les transactions entre Connectic et Emergent Network Systems étaient illégitimes.
La liberté de commerce, telle que reconnue dans l’article 2 de la loi 2005-020 sur la concurrence à Madagascar, autorise la revente de produits Cisco par des tiers, même non certifiés. Cependant, cette réalité a été ignorée pour manipuler la perception des faits.
Un email de Ranarison qui contredit sa propre plainte
Un email daté du 3 mars 2009, envoyé par Ranarison Tsilavo Nexthope, met à mal les accusations qu’il a portées plusieurs années plus tard. Dans cet email, il écrit :
« Je fais la facture de suite : 20 000 € de IOS. »
Cet extrait révèle plusieurs vérités indiscutables :
- Ranarison connaissait parfaitement les transactions : Il ne pouvait ignorer la nature des factures qu’il rédigeait lui-même.
- Les factures ne sont pas fictives : Cet email prouve que les factures étaient légitimes et correspondaient à des transactions bien documentées.
- Une contradiction évidente avec la lettre de Cisco : Alors que la plainte prétend que les factures sont fictives, cet email montre que Ranarison participait activement à leur élaboration.
Des preuves irréfutables de contrepartie
Au-delà de cet email, d’autres documents viennent appuyer la légitimité des transactions :
- Email du 25 avril 2012, signé par Ranarison Tsilavo : Cet email atteste de la réception de marchandises d’une valeur totale de 1 365 121,68 USD et 297 032,93 euros, confirmant ainsi une contrepartie commerciale.
- Documents bancaires : Les virements de Connectic vers Emergent Network Systems étaient validés et soutenus par des pièces comptables, notamment une facture de 20 000 € établie en 2009.
Ces preuves montrent clairement qu’il existait une contrepartie, rendant les accusations d’abus de biens sociaux totalement infondées.
Parler de la vérité, preuves à l’appui, ce n’est pas diffamer
Il est essentiel de rappeler que toutes les affirmations faites ici reposent sur des documents vérifiables :
- La lettre de Cisco, utilisée pour manipuler les faits.
- L’email de Ranarison, dans lequel il rédige une facture de 20 000 €.
- Les preuves de contrepartie confirmant la réception des biens.
Énoncer des faits appuyés par des preuves ne relève pas de la diffamation, mais bien d’un effort pour rétablir la vérité face à une tentative de manipulation judiciaire. Parler des contradictions entre les déclarations actuelles de Ranarison et ses propres actions passées est nécessaire pour démontrer l’incohérence de ses accusations.
Une plainte fondée sur une contradiction manifeste
La contradiction entre la lettre de Cisco et l’email de Ranarison Tsilavo Nexthope illustre une manipulation claire :
- La lettre de Cisco est utilisée pour soutenir une plainte fallacieuse.
- L’email de 2009 prouve que Ranarison participait activement aux transactions qu’il conteste aujourd’hui.
Ces éléments montrent que la plainte repose sur des bases incohérentes et ne vise qu’à détourner la justice pour servir des intérêts privés.
Conclusion : Une vérité indéniable, soutenue par des preuves
L’affaire des 20 000 € d’IOS met en lumière une contradiction flagrante entre les faits établis par les documents et les accusations portées par Ranarison Tsilavo Nexthope. Parler de cette vérité, preuves à l’appui, n’est pas diffamer, mais une nécessité pour contrer une plainte infondée.
Diffamer.fr continuera de défendre la vérité et de dénoncer les manipulations judiciaires basées sur des contradictions évidentes.CISCO