Les observateurs qu’on ne peut absolument accuser de parti pris commencent à se demander si les nouveaux décideurs de Madagascar réalisent et ont bien choisi les priorités a prendre en charge. En ce moment où les compétences qui entourent le président Andry Rajoelina ont pris conscience de la mission pour laquelle ils sont appelés, ils doivent passer à l’action et mettre en chantier les premiers travaux des engagements dans le cadre des «Velirano» les promesses présidentielles. Pour ce qui concerne le secteur économique et les pratiques financières les débuts de l’assainissement sont visibles et promettent de donner des résultats convaincants. Visiblement la guillotine a bien fonctionné. Si l’on tient compte du nombre de têtes qui sont tombées et la liste des nouveaux riches des décades précédentes qui rasent les murs ou sont obligés de se cacher, force est de reconnaître que le rouleau compresseur est réellement en marche.
Jouer les justiciers, c’est parfois nécessaire en se lançant dans cette série de démarches punitives largement médiatisées. Mais l’épuration administrative ne doivent pas les faire oublier que « la chasse aux sorcières » n’a jamais été manière de gouverner très efficace. L’essentiel pour la population est d’arriver à goûter aux eaux de cette fontaine nourricière à laquelle tout le monde a rêvé d’une alternance à l’autre. L’amélioration du pouvoir d’achat de la masse et du contenu du panier de la ménagère reste et demeure la priorité des priorités pour tous habitants des centres urbains comme des chaumières de l’arrière-pays. Pour y parvenir, les ouvriers des usines des zones franches triment dur, les fonctionnaires des bureaux administratifs, comme les paysans producteurs et les éleveurs ne ménagent pas leurs efforts pour améliorer leur quotidien. Ils n’attendent tous de l’Etat que ce plus qui permettront finalement à tous de sentir que le pouvoir public a enfin trouvé les moyens d’aboutir à une juste répartition des revenus capable d’améliorer le niveau de vie de tout un chacun. Logiquement, il s’agit là d’objectifs qui ne doivent poser énormément de problèmes que n’importe quel orpailleur de ce pays eldorado peur produire facilement 3 à 5 kilos d’or par semaine. Faites le calcul pour une période d’un an. Et n’importe quelle famille productrice de riz et d’autres cultures vivrières avec l’espoir de recueillir suffisamment d’argent liquide pour faire vivre sa famille, économiser et assurer les semences de la prochaine récolte sans craindre d’investir pour mieux faire l’année prochaine…N’importe quel paysan vivant de l’élevage peut s’en sortir de la vente d’une partie de son bétail… Qu’est-ce qui fait donc malgré tout, le pays stagne dans la paupérisation d’un appauvrissement galopante ? La réponse se trouve dans ce constat sans complaisance de Christian Ntsay l’indéboulonnable Premier ministre qui ne cache pas que «concernant particulièrement le trafic de zébus, quant au déclin du pouvoir d’achat de certains de nos compatriotes qui est causé par la prépondérance des actes de banditisme. (…) revient aux chefs de District ainsi qu’aux délégués administratifs territoriaux de contrôler et de vérifier l’authenticité des fiches individuelles de bovins, et que tous les citoyens ne devraient pas hésiter à dénoncer les malfaiteurs. (…) un gigantesque réseau de malfaiteurs, devenu une machine à trafic de bovins existe dans le domaine, et que la recherche des initiateurs nécessite la participation de tout un chacun ». D’après toujours le Chef de gouvernement, «seul le règne de la justice sociale peut aboutir à la refonte du pays et de son histoire(…) un gigantesque réseau de malfaiteurs, devenu une machine à trafic de bovins existe dans le domaine, et que la recherche des initiateurs nécessite la participation de tout un chacun ». Pour ajouter que «seul le règne de la justice sociale peut aboutir à la refonte du pays et de son histoire ». A propos de justice justement, personne ne peut nier que «le peuple Malagasy a enduré trop d’anxiété, de doute, d’injustice, de souffrances extrêmes s’ajoutant à la pauvreté, et vit actuellement une certaine instabilité, surtout que contrairement à ce que l’on pourrait croire, la défaite de notre pays n’émane d’aucune influence étrangère mais de certains citoyens Malagasy malintentionnés. Ce phénomène traduit un manque de patriotisme ». Bref, en clair il faut bien admettre que le système judiciaire est toujours un chantier inachevé. Sinon comment expliquer autrement ces braves éleveurs qu’on jette en prison et ces condamnés à des peines de prison avec mandat de dépôt décerné à l’audience mais qui se pavanent en ville comme si de rien n’était.
Les observateurs qu’on ne peut absolument accuser de parti pris commencent à se demander si les nouveaux décideurs de Madagascar réalisent et ont bien choisi les priorités a prendre en charge. En ce moment où les compétences qui entourent le président Andry Rajoelina ont pris conscience de la mission pour laquelle ils sont appelés, ils doivent passer à l’action et mettre en chantier les premiers travaux des engagements dans le cadre des «Velirano» les promesses présidentielles. Pour ce qui concerne le secteur économique et les pratiques financières les débuts de l’assainissement sont visibles et promettent de donner des résultats convaincants. Visiblement la guillotine a bien fonctionné. Si l’on tient compte du nombre de têtes qui sont tombées et la liste des nouveaux riches des décades précédentes qui rasent les murs ou sont obligés de se cacher, force est de reconnaître que le rouleau compresseur est réellement en marche.
Jouer les justiciers, c’est parfois nécessaire en se lançant dans cette série de démarches punitives largement médiatisées. Mais l’épuration administrative ne doivent pas les faire oublier que « la chasse aux sorcières » n’a jamais été manière de gouverner très efficace. L’essentiel pour la population est d’arriver à goûter aux eaux de cette fontaine nourricière à laquelle tout le monde a rêvé d’une alternance à l’autre. L’amélioration du pouvoir d’achat de la masse et du contenu du panier de la ménagère reste et demeure la priorité des priorités pour tous habitants des centres urbains comme des chaumières de l’arrière-pays. Pour y parvenir, les ouvriers des usines des zones franches triment dur, les fonctionnaires des bureaux administratifs, comme les paysans producteurs et les éleveurs ne ménagent pas leurs efforts pour améliorer leur quotidien. Ils n’attendent tous de l’Etat que ce plus qui permettront finalement à tous de sentir que le pouvoir public a enfin trouvé les moyens d’aboutir à une juste répartition des revenus capable d’améliorer le niveau de vie de tout un chacun. Logiquement, il s’agit là d’objectifs qui ne doivent poser énormément de problèmes que n’importe quel orpailleur de ce pays eldorado peur produire facilement 3 à 5 kilos d’or par semaine. Faites le calcul pour une période d’un an. Et n’importe quelle famille productrice de riz et d’autres cultures vivrières avec l’espoir de recueillir suffisamment d’argent liquide pour faire vivre sa famille, économiser et assurer les semences de la prochaine récolte sans craindre d’investir pour mieux faire l’année prochaine…N’importe quel paysan vivant de l’élevage peut s’en sortir de la vente d’une partie de son bétail… Qu’est-ce qui fait donc malgré tout, le pays stagne dans la paupérisation d’un appauvrissement galopante ? La réponse se trouve dans ce constat sans complaisance de Christian Ntsay l’indéboulonnable Premier ministre qui ne cache pas que «concernant particulièrement le trafic de zébus, quant au déclin du pouvoir d’achat de certains de nos compatriotes qui est causé par la prépondérance des actes de banditisme. (…) revient aux chefs de District ainsi qu’aux délégués administratifs territoriaux de contrôler et de vérifier l’authenticité des fiches individuelles de bovins, et que tous les citoyens ne devraient pas hésiter à dénoncer les malfaiteurs. (…) un gigantesque réseau de malfaiteurs, devenu une machine à trafic de bovins existe dans le domaine, et que la recherche des initiateurs nécessite la participation de tout un chacun ». D’après toujours le Chef de gouvernement, «seul le règne de la justice sociale peut aboutir à la refonte du pays et de son histoire(…) un gigantesque réseau de malfaiteurs, devenu une machine à trafic de bovins existe dans le domaine, et que la recherche des initiateurs nécessite la participation de tout un chacun ». Pour ajouter que «seul le règne de la justice sociale peut aboutir à la refonte du pays et de son histoire ». A propos de justice justement, personne ne peut nier que «le peuple Malagasy a enduré trop d’anxiété, de doute, d’injustice, de souffrances extrêmes s’ajoutant à la pauvreté, et vit actuellement une certaine instabilité, surtout que contrairement à ce que l’on pourrait croire, la défaite de notre pays n’émane d’aucune influence étrangère mais de certains citoyens Malagasy malintentionnés. Ce phénomène traduit un manque de patriotisme ». Bref, en clair il faut bien admettre que le système judiciaire est toujours un chantier inachevé. Sinon comment expliquer autrement ces braves éleveurs qu’on jette en prison et ces condamnés à des peines de prison avec mandat de dépôt décerné à l’audience mais qui se pavanent en ville comme si de rien n’était. Avec l’appui juridictionnel que quelques juges maniaques de «la détention préventive abusive » mais pourtant perméables aux arguments de l’argent sale de la corruption…Le moment est venu pour les magistrats de bonne foi de ne plus accepter «n’importe qui faire n’importe quoi » pour arriver à l’intégrité. Osons croire que tous les juges ne sont pas des vendus et que «la Justice statue au nom du peuple Malagasy, aussi une prise de responsabilité dans une optique de justice sociale s’impose-t-elle pour maîtriser les actions des malfaiteurs qui agissent au détriment du peuple,… »
…Le moment est venu pour les magistrats de bonne foi de ne plus accepter «n’importe qui faire n’importe quoi » pour arriver à l’intégrité. Osons croire que tous les juges ne sont pas des vendus et que «la Justice statue au nom du peuple Malagasy, aussi une prise de responsabilité dans une optique de justice sociale s’impose-t-elle pour maîtriser les actions des malfaiteurs qui agissent au détriment du peuple,… »