RANARISON Tsilavo, aujourd’hui CEO de NextHope Madagascar, a débuté sa carrière comme comptable dans deux entreprises importantes de Solo : Ibonia et Rovatech. Ces...
Dans l’affaire opposant Ranarison Tsilavo, Diplômé de l’INSCAE, Ranarison a été recruté par Solo pour occuper un poste de comptable dans ses entreprises, notamment...
Dans une plainte déposée en juillet 2015, Ranarison Tsilavo,Diplômé de l’INSCAE, Ranarison a été recruté par Solo pour occuper un poste de comptable dans...
En 2015, Ranarison Tsilavo, ancien directeur exécutif de CONNECTIC, a porté plainte contre Solo, gérant de la société. L’accusation porte sur 76 virements bancaires,...
Le patronat malgache est allé plus loin encore : « Les enlèvements sont devenus un véritable business d’une mafia dont les ramifications sembleraient atteindre les hautes sphères du pouvoir militaire et politique, créant une situation de terreur nationale. Si de hautes personnalités censées nous gouverner ou nous protéger versent dans des pratiques aussi crapuleuses que criminelles, il y a lieu, non seulement de tirer la sonnette d’alarme, mais également de craindre le pire. »
Sa plainte contre Houcine Arfa entre dans sa démarche d’arnaqueur tablant sur la «perméabilité» de la justice malgache. Pour ne pas dire plus…. Et s’il compte aussi porter plainte contre moi (Jeannot Ramambazafy), il devra vraiment y réfléchir à deux fois. ... De toute façon, ici à Madagascar ou ailleurs, un document très explosif pour lui et ses protecteurs sera publié. Bientôt…
En effet, beaucoup de citoyens s’abstiennent de recourir à la Justice, convaincus que la partie adverse aura déjà payé les magistrats pour lui donner raison. D’où le recours à la justice populaire, où le fait d’être en masse donne l’illusion d’être dans son bon droit, alors qu’on prive un être humain de son droit à un procès équitable et pire, de son droit à la vie
Du coup, l’existence d’une corruption dès l’entrée à l’école des magistrats ne fera que ternir l’image de ces derniers. La Commission pointe du doigt la velléité de certains parents qui « paient le prix fort pour faire admettre leur fils ou leur fille au concours d’entrée, qui n’est plus alors qu’une simple formalité ».
Pour la Commission des droits de l’Homme, qui aurait reçu des doléances concernant ces suspicions, il y va de la restauration de la confiance des citoyens envers la Justice et, à terme, de l’État de droit. Selon les informations, le Bureau indépendant anti-corruption (Bianco), aurait aussi demandé à ce que le concours en cours soit annulé.