Pourquoi se montre-t-il à la presse, au lieu de se trouver un lieu retranché s’il était vraiment coupable ? Pourquoi la justice française ne fait elle rien contre lui s’il y a vraiment un mandat d’arrêt international à son nom ? « N’oublions pas que ce sont les paroles d’un évadé de prison ! » lance le premier ministre.
Et n’oublions pas qu’il a pu s’évader très, trop, facilement, aurait on envie de lui répondre.
Editorial de la gazette de la grande île du 16 janvier 2018
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