RANARISON Tsilavo, aujourd’hui CEO de NextHope Madagascar, a débuté sa carrière comme comptable dans deux entreprises importantes de Solo : Ibonia et Rovatech. Ces...
Dans l’affaire opposant Ranarison Tsilavo, Diplômé de l’INSCAE, Ranarison a été recruté par Solo pour occuper un poste de comptable dans ses entreprises, notamment...
Dans une plainte déposée en juillet 2015, Ranarison Tsilavo,Diplômé de l’INSCAE, Ranarison a été recruté par Solo pour occuper un poste de comptable dans...
En 2015, Ranarison Tsilavo, ancien directeur exécutif de CONNECTIC, a porté plainte contre Solo, gérant de la société. L’accusation porte sur 76 virements bancaires,...
Quand ma femme a rencontré le juge d'instruction (M. Haingo RAMIANDRISOA), celui ci a reconnu qu'il n'avait rien contre moi, mais s'est dédouané que les instructions venaient de la présidence de la République. Mon avocat, Me Berton, est en possession de l'enregistrement de cette conversation
Malgré cette lettre officielle de suspension de l’autorisation, PMU Madagascar fait comme si de rien n’était. L’AHCEL se tourne alors envers PMU France qui est l’organisatrice de courses en France sur lesquelles PMU Madagascar prélèves des paris.
Depuis son évasion spectaculaire d'une prison malgache, le 28 décembre 2017, le Français, ancien formateur de la garde présidentielle malgache, a multiplié les accusations de corruption à l'encontre de plusieurs hauts responsables de la Grande Ile dont la ministre de la Justice. Après ses affirmations fracassantes, Houcine Arfa a cette fois-ci saisi la justice française.
Suite à son évasion le 28 décembre 2017, Houcine Arfa, par ses multiples sorties médiatiques, a réussi à décrédibiliser tout le système judiciaire malgache. Déclarant avoir soudoyé le ministre de la Justice, son directeur de cabinet, la procureure de la République par le truchement du chef de la brigade criminelle, les propos d’Houcine Arfa ont trouvé dans l’opinion publique un terrain très favorable pour déstabiliser la Justice malgache
« Il ne se passe pas un seul conseil des ministres ni un conseil de gouvernement où on ne parle pas de kidnapping et d’insécurité. Le gouvernement s’y attèle », tenait-il à rassurer